Pendant la guerre 1914-18, plusieurs établissements furent transformés en "hôpitaux militaires temporaires", où l'on soigna de nombreux bléssés grace à une équipe d'infirmière bénévole.
En dehors de l'hôpital qui reçut lui-même un contingent de bléssés, ce furent l'intitution Saint-Joseph, 31 rue Sébline, l'école publique de filles, ancienne "Providence", rue Sivard de Beaulieu; où furent soignés plus de cinq cent bléssés.
En 1915 , l'ancienne gendarmerie de la rue Saint-Comes (actuelle rue de la 101ème Airborne, n°10), fut transformée en hôpital pour les soldats Belges cantonnés à Carentan.